La manifestation pour la régularisation des sans-papiers a démarré vers 16 heures depuis l’esplanade Roland Barthes de Bayonne.
La manifestation pour la régularisation des sans-papiers a démarré vers 16 heures depuis l’esplanade Roland Barthes de Bayonne. © Bob EDME
Les participants et organisateurs ont demandé un changement des politiques migratoires. © Bob EDME
Les participants et organisateurs ont demandé un changement des politiques migratoires. © Bob EDME
 Les participants et organisateurs ont demandé un changement des politiques migratoires.  Les deux rendez-vous ont été organisés dans le cadre de la grande Marche des solidarités organisée dans l’Etat français. © Bob EDME
Les deux rendez-vous ont été organisés dans le cadre de la grande Marche des solidarités organisée dans l’Etat français. © Bob EDME
Le matin, les manifestants se sont rassemblés devant le centre de rétention d’Hendaye, contre lequel les organisateurs ont dénoncé la création d’un pacte au niveau de l’Europe qui créerait des nouveaux centres d’accueil. © Bob EDME
Le matin, les manifestants se sont rassemblés devant le centre de rétention d’Hendaye, contre lequel les organisateurs ont dénoncé la création d’un pacte au niveau de l’Europe qui créerait des nouveaux centres d’accueil. © Bob EDME
Le collectif demande le respect des droits et la protection des personnes en exil.  © Bob EDME
Le collectif demande le respect des droits et la protection des personnes en exil. © Bob EDME
Des pas solidaires envers les migrants

Dans le cadre de la grande Marche des solidarités organisée dans l’Etat français le samedi 17 octobre, le collectif Etorkinekin-Solidarité Migrants s'est rassemblé le matin devant le centre de rétention administrative d’Hendaye. Un centre pour lequel les participants espèrent qu'il fermera ses portes au plus vite. Quelques heures plus tard, une manifestation a traversé les rues de Bayonne demandant, entre autres, le changement radical des politiques migratoires, assurant ainsi la protection et le respect des droits des personnes en exil.

2020 URR. 19