A Saint-Jean-de-Luz, une soixantaine de personnes ont répondu à l’appel d’Etxerat. © Guillaume FAUVEAU.
Depuis la crise sanitaire, les familles des prisonniers n’ont pas pu faire de visites dans les conditions antérieures. © Guillaume FAUVEAU.
"Nous les voulons et nous avons besoin d’eux vivants et à la maison !", un des slogans des manifestants. © Guillaume FAUVEAU.
La plage de Saint-Jean-de-Luz a offert un joli décor aux revendications en faveur des prisonniers. © Guillaume FAUVEAU.
Sur le sable, les ikurina étaient de sortie. © Guillaume FAUVEAU.
Etxerat regrette que la crise sanitaire n’ait pas fait avancer le sort des prisonniers basques en particulier celui des plus vulnérables. © Guillaume FAUVEAU.
Sur la place Louis XIV de Saint-Jean-de-Luz, les manifestants ont dit "Non au blocage du processus de paix" entamé en 2011. © Guillaume FAUVEAU.
Etxerat regrette que dans l’Etat français le parquet anti-terroriste bloque toutes les demandes de conditionnelle. "Lorentxa, Jakes, Xistor et Ion Kepa devraient être parmi nous depuis longtemps". © Guillaume FAUVEAU.
Sur les plages en faveur des prisonniers basques
Dimanche, le mouvement Etxerat a organisé des manifestations sur seize plages du Pays Basque afin de dénoncer les mesures d’exception appliquées aux prisonniers basques. Les manifestants ont protesté contre l’éloignement des prisonniers et leur maintien sous les verrous malgré la maladie et/ou leur droit à la liberté conditionnelle. Etxerat s’est montrée d’autant plus inquiet que la crise de la Covid-19 a aggravé la situation des prisonniers et de leur famille.
03 AOûT 2020
